Certains professionnels de santé rivalisent de déclarations, supputations, commentaires d'évolutions (courbes, tableaux chiffrés) des critères de surveillance du SARS CoV-2 ou Covid-19 et de ses variants, tant dans les revues spécialisées que sur les ondes radio et sur les plateaux TV, notamment aux JT.
Ils sont en revanche nettement moins volubiles, quant aux "effets secondaires" de #certains des "gestes-barrière" mis en place depuis mars 2020 ! Et pourtant, ils sont nombreux, ces "effets secondaires", qui devraient sérieusement alerter les médecins, de ville d'abord, qui en toute logique doivent avoir reçu davantage en consultation certains patients se plaignant de problèmes de "peau" (je pense aux dermatologues, qui ont dû voire leur patientèle "exploser"), ou de généralistes ou spécialistes qui ont reçu des personnes consultant pour des difficultés respiratoires, mais aussi des urgentistes et des médecins hospitaliers !
En effet, et sans être scientifique moi-même, je peux néanmoins me rendre compte de certains "effets désastreux" de ces "gestes-barrière" !
Si la "distanciation sociale" ne pose pas de problème a priori, il n'en va pas du tout de même du masque de protection (de catégorie 1, ou autre), et encore moins du (ou des) gel(s) hydroalcoolique(s) !
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les masques de protection
En temps normal et sans masque, l'être humain exhale en moyenne 4 % de dioxyde de carbone (ou gaz carbonique). Mais lorsqu'il doit porter - 4 heures durant, et pour beaucoup (les soignants, les travailleurs qui ne peuvent "télé-travailler", les enseignants, certains élèves, les vendeurs et vendeuses, etc), bien davantage que 4 heures par jour, un masque suffisamment protecteur (sinon, c'est inutile : à quoi bon en porter ?), toutes ces personnes exhalent donc 4 % de gaz carbonique, mais à l'inspiration, elles en inhalent une bonne partie à chaque fois, parce que leur masque étant suffisamment "hermétique" (sinon, c'est inutile : à quoi bon en porter un ?), il laisse sortir l'air - certes - mais difficilement !
Or la médecine actuelle sait depuis longtemps que le dioxyde de carbone, s'il ne présente pas de danger tant qu'il reste cantonné à 3 ou 4 %, le devient lorsqu'il avoisine les 7 ou 8% !
Qui donc n'a jamais ressenti ces curieux phénomènes "d'étourdissements", à la longue, après avoir porté un masque pendant plusieurs heures ?... Il faut dire la vérité : on "s'asphyxie" lentement mais sûrement tous, avec ces masques, et j'en ai moi-même fait maintes fois le constat !
Autre sujet : le masque, potentiellement "accidentogène" ! En effet, partant du fait que 76% de la population française est porteuse de lunettes de vue, ces masques - assez hermétiques on l'a vu - retiennent la buée sur les verres. C'est assez problématique déjà à-pied, parfois, mais les lecteurs conviendront avec moi qu'il n'est pas du tout rare de croiser dans les rues et sur les routes, des automobilistes qui conduisent avec le masque, alors que - sauf cas vraiment très exceptionnel et justifié - cela ne devrait pas se voir ! Ce faisant, et outre la condensation sur les verres, le cerveau étant moins bien oxygéné, on mesure assez bien "les effets potentiellement risqués" de conduire une automobile "masqué" (j'ai même souvent croisé des conducteurs seuls dans leur véhicule et néanmoins "masqués" !...
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les gels et solutions hydroalcooliques
On ne compte plus le nombre de vendeurs ou vendeuses, dont les mains sont carrément "décapées", rouges, irritées, voire sanguinolantes parfois, à force de lavements des mains répétés moult fois dans la journée et surtout, d'application de ces gels hydroalcooliques !
Des membres de ma famille ont les mains dans un état épouvantable parce que, souffrant de "crevasses" aux doigts, ces gels ont accentué lesdites "crevasses" ! On ne compte plus non plus le nombre d'enfants qui reviennent chaque soir de l'école avec des mains rouges, enflées, irritées, leur peau apparaissant comme "décapée", ni le nombre de parents qui s'en inquiètent auprès des professeurs des écoles, lesquels sont impuissants à modifier quoi que ce soit parce qu'obéissant à des "consignes strictes" de leur rectorat (voir photo) !
Si le corps médical ne fait rien, après les maux de la Covid elle-même, après les souffrances psychiques et psychologiques, après les autres "effets collatéraux" de cette pandémie, nous allons avoir (nous avons hélàs déjà) de gros soucis de santé causés par nos "gestes-barrière" - certes bien compris et nécessaires évidemment - mais qui génèrent d'innombrables cas de détresses respiratoire (par asphyxie), et de dermites voire de dermatoses au niveau des mains, soit par irritation, soit sur un terrain allergique !
Si les Inspections académiques et leur ministère de tutelle ne prennent pas conscience de ces problèmes dans les écoles - notamment concernant les mains de nos enfants - en faisant par exemple en sorte qu'on ne leur demande plus de se les laver 20 fois par jour !..., ou que l'on remplace le savon utilisé par un savon "neutre" comme l'est le vrai savon de Marseille, on court tout droit à une nouvelle et autre catastrophe !
Quant au port du masque toute une journée, je sais que les professionnels de santé le font, et pour la bonne cause, mais n'est-ce pas d'un certain point de vue "aberrant" de "s'auto-asphyxier" ainsi ? N'a-t-on pas un peu vite "condamné" les visières en plexi ( qui protégeaient tout autant des projections !) ? Car avant tout, l'objet de ces masques, même les plus performants d'entre eux, n'est-il pas simplement de nous protéger des projections extérieures, sans prétendre donc empêcher le virus de "passer" ? A-t-on médicalement étudié les "effets perturbateurs" du port en continu de ces masques sur le fonctionnement du cerveau, par exemple ? Existe-t-il aujourd'hui une telle étude, et quelles en sont ses conclusions ?
Bonne réflexion à toutes et tous, car j'appelle ici à témoigner, toutes celles et tous ceux qui se reconnaîtront dans cet article et ses descriptions, ou qui ont dans leur entourage, familial, amical, professionnel, des aggravations de santé directement dues au port prolongé du masque et (ou) de l'application des gels hydroalcooliques, ou des lavages de mains trop fréquents, et à témoigner également ou intervenir sur le plan d'informations médicales, les personnels de santé !